Amicales : Les « Voyageurs du Rouergue » au delà du cercle polaire

Publié par Michel Delous le 5 juillet 2013 à 21:04 (CEST) ( 422 visites )

Cette fois, l’amicale de Saint-Geniez-Campagnac a entraîné une centaine de ses « Voyageurs du Rouergue » vers une destination mythique : le Cap Nord. Pour y parvenir les deux groupes ont parcouru plus de 3500km en Norvège, Suède et Finlande. Cela leur a permis de découvrir un itinéraire inédit parsemé de découvertes très attractives comme la plus grande mine de fer du monde à Kiruna, le village qui va être entièrement déplacé d’ici 2020, la découverte et la dégustation du fameux King Crabe géant, le soleil de minuit, la magnifique route de l’Atlantique, les îles Lofoten, la ferme de rennes ainsi que la vision magique de centaines de rennes en liberté près d’Alta. Des paysages époustouflants se sont succédés tout au long du circuit avec des points forts comme le petit train de Flam, le glacier de Briksdalsbreen, les croisières dans les fjords sans oublier les incontournables villes de Bergen et d’Oslo . L’habituel apéritif offert par l’amicale s’est déroulé dans une ambiance festive avec la copie conforme des Vamps dans un sketch hilarant !.
En voici le détail dans le désordre pour le points les plus marquants :

Le circuit fut réalisé dans le sens Oslo vers Alta pour un groupe et dans le sens contraire pour le deuxième. Pour le premier, le train de nuit de Trondheim à Bodo nous fait traverser le cercle polaire vers 23h. Ce train est très confortable. Chaque cabine possède deux places avec lavabo, glace, distributeur de savon, prise 220v et deux bouteilles d’eau. Ce trajet en train de près de 900km permet d’éviter un jour et demi d’autocar.

Le chemin de fer de Flåm serpente entre Myrdal, sur l’axe ferroviaire Oslo-Bergen. Flåm, 865 mètres plus bas, est niché au fond d’un repli de l’Aurlandfjord. Chaque année, ce tronçon attire des enthousiastes de tous les coins du globe. Ils font du chemin de fer de Flåm l’une des principales attractions de la Norvège, et l’une des plus spectaculaires. Le train permet de découvrir certains des paysages les plus sauvages et les plus magnifiques de Norvège. Sur vingt kilomètres, on peut apercevoir des rivières qui se fraient un passage au fond de ravines étroites, des cascades qui se jettent sur les flancs de montagnes aux sommets enneigés et des fermes de montagnes qui s’accrochent à des coteaux escarpés.

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Un groupe devant une majestueuse cascade

Le chemin de fer de Flåm est l’une des lignes à écartement normal les plus pentues au monde. La rampe est de 55/1000 sur pratiquement 80% de la ligne. Les tunnels qui percent la montagne de leurs courbes témoignent de l’audace des plus grands ingénieurs de toute l’histoire ferroviaire du pays.

Le paysage de fjords, avec en particulier le Geirangerfjord, est à la fois exceptionnel et spectaculaire, comme en témoigne son inscription sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Il faut vraiment être blasé pour ne pas se laisser impressionner par cette œuvre grandiose de la nature et par les habitants qui ont élu domicile sur les versants escarpés Du haut de parois rocheuses presque verticales se jettent des chutes d’eau spectaculaires, dont certaines sont très célèbres : De syv søstrene (les Sept Sœurs), Friaren (le Prétendant) et Brudesløret (le Voile de la Mariée). Elles animent les falaises de légers voiles de brume qui créent d’étonnants arcs-en-ciel et de merveilleuses variations de couleurs.

La Route des Trolls (Trollstigen), protégée par des murets de pierres, étroite, parfois vertigineuse mais toujours extrêmement fascinante, serpente sur les raides versants de la montagne en longeant des cascades. Cette route est un remarquable témoignage des prouesses des ingénieurs des ponts et chaussées, surtout si l’on pense aux outils rudimentaires qu’ils avaient à leur disposition dans les années trente. Plus de 70 ans après son ouverture en 1936, cette route donne toujours des sueurs froides à bon nombre de voyageurs. Depuis peu, la Route des Trolls fait partie de la route nationale touristique de Greiranger - Trollstigen.

A mi-chemin entre la Route des Trolls et le centre de Valldal, Gudbrandsjuvet est un ensemble impressionnant de marmites de géant dans une gorge de cinq mètres de large et de vingt mètres de profondeur. Selon une vieille légende, un homme du nom de Gudbrand aurait sauté dans la gorge avec sa mariée kidnappée On peut contempler le spectacle depuis plusieurs passerelles et sentiers. La gorge est facilement accessible depuis la route principale rv. 63 entre Valldal et la Route des Trolls.

Ørnevegen est le tronçon de route le plus raide sur le flanc de montagne entre Geiranger et Eidsdal, sur la rv. 63. La route grimpe en effet par onze virages en épingle à cheveux depuis le Geirangerfjord jusqu’au point culminant de la route, Korsmyra, à 620 mètres d’altitude
Inaugurée le 15 septembre 1955, cette route a permis au village de Geiranger d’être accessible toute l’année. Elle a été surnommée Route des Aigles parce qu’en son point culminant, elle passe par un endroit qui abritait traditionnellement un grand nombre d’aigles. Le nom reflète également l’aspect sauvage et spectaculaire que découvrent les touristes et les autres usagers de la route, en particulier s’ils s’arrêtent à Ørnesvingen, le plus élevé des virages en épingle à cheveux.
Le site a été aménagé pour permettre aux visiteurs d’admirer le magnifique panorama sur Geiranger, le Geirangerfjord, de syv søstrene (la cascade des Sept Sœurs) et la ferme d’alpage Knivsflå, ou de contempler les nombreux navires de croisière qui circulent dans le fjord tout en bas. Le point de vue a été modernisé en 2006, dans le cadre de l’aménagement de la route touristique nationale.

Le musée du Fram est un musée ayant pour sujet les expéditions norvégiennes d’exploration polaire. Il se situe sur la péninsule de Bygdøy à Oslo au sein d’une zone abritant également d’autres musées comme le musée du Kon-Tiki, le musée folklorique norvégien, le musée des navires vikings et le musée de la marine.
Le musée a été inauguré en le 20 mai 1936. Il met à l’honneur trois grands explorateurs norvégien Fridtjof Nansen, Otto Sverdrup et Roald Amundsen. Il abrite notamment le Fram, navire construit pour Fridtjof Nansen pour l’expédition Fram et également utilisé par la suite pour les expéditions d’Otto Sverdrup et Roald Amundsen. Il permet notamment aux visiteurs de visiter le navire en montant à son bord. L’intérieur du navire est conservé en l’état original de sa conception. Il présente également un aperçu de la faune de régions polaires comme les ours blancs et les manchots.

Lorsque l’on pénètre dans le musée Viking des Lofoten à Borg, on a l’impression d’être projeté à l’époque viking. La maison est éclairée par le feu qui brûle dans les cheminées et la lueur des lampes au plafond. L’odeur de goudron chatouille vos narines Des fouilles archéologiques ont été entreprises ici à partir de 1983, et, de 1986 à 1989, un projet de recherche scandinave a été conduit à Borg. Les fouilles ont mis au jour des vestiges de la plus grande bâtisse jamais trouvée dans le royaume Viking, en Norvège ou ailleurs en Europe. Pour la première fois, les archéologues étaient certains d’avoir trouvé la demeure d’un chef. Les fouilles révélèrent une bâtisse de 67 mètres de long, érigée dès le sixième siècle. Elle fut reconstruite au début de l’époque viking et agrandie à 83 mètres de long. Le temps nous manque pour aller sur le drakkar reconstitué à dix minutes de marche où nous pensions faire la photo de groupe.

La route de l’Atlantique zigzague sur un parcours jalonné par douze ponts peu élevés qui surplombent la mer, reliant les îles entre Molde (célèbre pour son festival annuel de jazz en juillet) et Kristiansund dans les fjords de l’Ouest. Hustadvika est une région où la mer est traîtresse, et lorsqu’il y a tempête, le paysage est fantastiquement dramatique. Lorsque le temps est plus calme, l’on peut apercevoir des baleines et des phoques", écrit The Guardian (25 April, 2006) Elue « la construction norvégienne du siècle » en 2005, cette route relie les îles d’Averøy et d’Eide. Depuis Kristiansund, la route nationale 64 continue, via un ferry, vers Bremsnes, ensuite elle traverse l’île passionnante d’Averøy, avec son église en bois debout de Kvernes, et continue le long de son littoral incroyable vers Hustadvika
La route de l’Atlantique saute agilement d’île en île, en traversant sept ponts, une faune riche en oiseaux et en phoques, et passe par des excellents lieux de pêche accessibles en bateau ou tout simplement depuis les bords rocheux du littoral. La route de l’Atlantique fut ouverte en 1989 et est aujourd’hui gratuite. 

Depuis quelques années, une surpopulation de crabes royaux du Kamtchatka pose des problèmes à l’écosystème de la mer de Barents. Originaire du littoral oriental de Sibérie, il a été introduit artificiellement dans le fjord de Mourmansk durant les années 1960 afin de fournir de nouvelles prises aux pêcheurs russes. Depuis lors, il s’est répandu le long des côtes de la Norvège et dans les îles Svalbard. Les protecteurs de l’environnement et certains pêcheurs voient cette progression rapide comme une menace pour les écosystèmes, alors que d’autres pêcheurs le considèrent comme une bénédiction économique. Sans prédateur naturel dans la chaîne alimentaire qui puisse lui nuire, il pourrait atteindre les côtes atlantiques de l’Europe occidentale où seules les eaux chaudes de Gibraltar pourraient l’arrêter.
La prolifération du dit crabe proviendrait d’accords internationaux motivés par l’URSS qui imposent que seuls les mâles adultes puissent faire l’objet d’une pêche, de surcroît soumise à un quota ; et ce de manière à éviter la chute des cours.
Sa désignation sous le nom de crabe « de Staline » relèverait d’un hommage douteux compte tenu de son insertion dans les lieux sept ans après la mort du dirigeant, alors que le Comité central avait déjà désavoué le dirigeant.
En 2012, on a également observé sa prolifération en Antarctique
La visite fut l’occasion de se faire photographier en tenant ce fameux crabe, puis une dégustation avait lieu sous un immense tipi où la cuisson des pattes s’effectuait sur un feu de bois. Elles furent servies par quatre fois jusqu’à plus faim. Un vrai délice !

Bergen est avant tout connue pour son port hanséatique et ses vielles maisons en bois, protégés par l’UNESCO, son marché aux poissons, ses montagnes environnantes et ses fjords. Serrées les unes contre les autres au pied de la colline, les anciennes constructions de bois ont survécu aux siècles. Une promenade à travers les ruelles étroites (appelées « smau ») est un plaisir unique à Bergen
Du haut du Mont Fløien (320 mètres d’altitude), qui est accessible par le funiculaire Fløibanen dont la gare de départ se trouve en centre-ville, le groupe découvre une vue splendide sur la ville, les montagnes, les fjords et la mer. Tout en bas, le marché aux poissons est plein d’animation.

Kiruna est la commune la plus septentrionale de Suède. Située en Laponie suédoise, elle couvre 20000 km2, soit la moitié de la taille de la Suisse. La ville en elle-même, construite autour de la mine de fer compte environ 20000 habitants. Kiruna est donc située au nord du cercle polaire. On peut y admirer le soleil de minuit en été et les aurores boréales. L’hiver y est très long : il dure d’octobre à mai. Kiruna a grandi grâce à la construction de la plus grand mine souterraine de fer au monde. On y extrait tous les jours l’équivalent de cinq tours Eiffel. Aujourd’hui, des stations de recherche s’y sont également installées. Kiruna est également le siège du parlement des Sames suédois. Les Sames sont des nomades installés dans le Nord de la Scandinavie et qui vivent traditionnellement de l’élevage de rennes Le paysage environnant est assez plat en allant vers l’est, mais montagneux vers l’ouest avec le sommet de Suède : le Kebnekaise qui culmine à 2117 m. De milliers de lacs et de rivières parsèment une terre austère couverte de bouleaux rachitiques et parfois seulement de mousses. Kiruna est l’un des rares lieux en Europe ou l’on peut trouver une nature encore à l’état sauvage.

Le Hardanger, a proximité de la localité de Steindalfossen, en Norvège, permet d’admirer une cascade de fort débit, qui présente une particularité étonnante : un sentier permet de l’approcher et semble disparaître à travers l’écume pour ressurgir de l’autre côté. Si l’on s’y engage, on découvre alors qu’il passe sous une roche en surplomb. Des masses d’eau grondent sur les têtes, tandis que l’on marche à l’abri, derrière la cascade. On peut ainsi atteindre l’autre côté sans être entraîné par les eaux mugissantes. Pour beaucoup, le Hardanger est le symbole de la véritable Norvège ; avec ses fjords et montagnes, ses vergers en fleurs et son art populaire, ses versants verdoyants, son fjord émeraude et le glacier de Folgefonna dominant le tout comme une couronne blanche ; le Hardanger est d’une beauté à couper le souffle, et ce en toute saison.

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Le soleil de minuit au Cap Nord

Le Cap Nord (Nordkapp) marque pour beaucoup la fin du voyage, un but à atteindre... Beaucoup rêvent d’y aller un jour. C’est un bout du monde comme l’est aussi le Cap de Bonne Espérance. Depuis Alta, la route qui mène au Cap Nord traverse des étendues désertiques que quelques touffes d’herbe rase ou de lichen essaient de couvrir. On croise aussi de temps en temps des troupeaux de rennes appartenant aux Sames, le peuple lapon. Tout d’un coup, on rejoint un large fjord. La route continue au bord de ce fjord en direction du nord. C’est là que les surprises commencent. Le Cap Nord n’est pas situé sur le continent, mais sur une île séparée de la terre par un bras de mer de quelques kilomètres. Pour y accéder, on doit emprunter un tunnel de plus de six kilomètres et descendant à quatre cent mètres sous le niveau de la mer. On arrive alors à Honningsvåg, la ville européenne la plus septentrionnale. On emprunte ensuite une route de 34 km qui traverse un plateau complètement désertique qui a vraiment des allures de bout du monde. Le site en lui-même n’a rien d’exceptionnel. Un complexe touristique à moitié enterré a été construit au bord de la falaise de 307 mètres de haut que constitue le Cap Nord. Malheureusement, le Cap Nord est très souvent dans le brouillard et l’on ne voit absolument rien. De fait, le premier groupe n’a rien vu mais le deuxième a eu la chance d’y voir le soleil de minuit. Contrairement à ce qu’il était il y a 16 ans (1997) lors du premier voyage de l’amicale en ce lieu, le Cap Nord est devenu un lieu très touristique qui profite trop de sa notoriété. Le seul hôtel sur place (le Rica) n’a fait aucune amélioration depuis 1997 ! En dehors de la ferme finlandaise où nous avons été accueillis avec un bon café et des beignets fourrés savoureux, nous avons pu observer des centaines de rennes en liberté, une vision magique ! Plus loin, ils surgissent de nulle part, il y en a sur la route, en groupe sur des monticules, presque dans les villages !

La visite habituelle du glacier de Briksdal étant devenue un attrape touriste, ce fut celui de Jostedalsbreen qui fut visité. Dans une nature beaucoup plus sauvage et sans une horde de visiteurs, ce fut un plaisir d’arriver pratiquement au dessous et de plus voir deux autres bras sur sa gauche. Très impressionnant ! Le petit lac ajoute une note de sérénité dans ce cadre majestueux et certains ont même pu faire une bataille de boules de neige !

La Juhls’ Silver Gallery se trouve à Kautokeino, dans l’extrême nord de la Norvège. L’histoire de Régine et Frank Juhl est très romantique. Dans les années cinquante, Régine qui est d’origine allemande étudiait à l école de théâtre Kautokeino de Vienne ; elle commença alors ses voyages hors des villes d’Europe pour trouver une place plus favorable à sa créativité. Dans le nord norvégien elle rencontra Frank, un danois, qui poursuivait le même projet d’évasion. Ils restèrent ensemble. En 1959 ils créent un petit atelier dans les montagnes. C’était les premières années du mouvement studio en Norvège. L’atelier se transforma en galerie, un grand bâtiment d’une intéressante architecture, reflétant les sommets des montagnes.
Les Juhls étaient fascinés par la nature de la toundra et par le people Sami (les lapons) qui y vivaient. Ils commencèrent à réparer leur bijoux en argent et développèrent ainsi une renaissance de la bijouterie traditionnelle et des costumes folkloriques. Certains de leurs bijoux sont inspirés des découvertes dans les anciennes tombes ; ils ont des formes d’animaux semblables aux créations studio avec des influences naïves. Cependant, ce sont les créations modernes qui ont fait la renommée internationale des Juhls. La collection de Régine appelée “Tundra”, inspire par le vaste pays arctique comme elle le dit elle-même est particulièrement élégante. C’est le résultat d’une vie isolée, loin des grandes villes, dans la fascination du mode de vie nomade, proche de la nature, des pierres, des lichens et de la mousse dont elle emprunta les formes.

La Laponie norvégienne est la région des Samis, le peuple indigène. C’est là que l’on peut y voir le soleil de minuit et les aurores boréales. Le peuple lapon, ou Sami est un peuple autochtone d’une zone qui couvre le nord de la Suède, la Norvège, la Finlande et en Russie (péninsule de Kola). Leur nom, Sami dans leur propre langue, est également parfois traduit par les termes « Sames », « Samés », « Sâmes » ou « Saami ».

La Laponie suédoise se trouve dans le nord de la péninsule Scandinave, dans le nord de la Suède. Elle est délimitée par les frontières norvégienne et finlandaise et s’étend jusqu’au golfe de Botnie. Elle se compose des régions administratives du Västerbotten et du Norrbotten. S’étalant sur 109 702 kilomètres carrés, cette région a pour plus grande ville la ville de Kiruna, qui est à une heure et demie de la capitale Stockholm. Comptant plus de 100 900 habitants, la Laponie suédoise est une région très appréciée pour sa paix, sa tranquillité, son paysage arctique et sa culture lapone.

La Laponie finlandaise est presque inhabitée, couverte d’immenses zones sauvages et constitue l’un des paysages les plus singuliers d’Europe, tant en été, sous le soleil de minuit, qu’en hiver, dans l’obscurité bleue de la nuit permanente. Moyennant quelques précautions, à vous les beautés d’une nature vierge de la Laponie finlandaise, aux richesses insoupçonnées.

Et le bouquet final : l’apéritif offert par l’amicale ainsi que le spectacle des Vamps
C’est devenu une tradition incontournable que ce moment de convivialité dans les voyages de l’amicale. Tout au bord d’un fjord où nous trouvons un cabanon de pêcheur avec sa table qui semblait nous attendre, un apéritif local fut servie dans une atmosphère particulièrement chaleureuse. Il faut dire que pour trouver de l’alcool en Norvège c’est le parcourt du combattant car les seuls magasins d’état autorisés ont des horaires très limités. On se rabat donc sur des Spar où seule la vodka à 4°5 est trouvable ! Deux participantes nous offrirent un sketch hilarant des Vamps, on aurait dit les vraies !

En définitive, on revient de ce superbe périple avec des paysages sublimes plein les yeux et avec la satisfaction d’avoir réalisé en quelque sorte un rêve d’enfant.

Les prochains voyages de l’amicale autont pour destination la Sicile et îles Eoliennes (inscriptions en cours) et le Myanmar (ex Birmanie) pour lequel il ne reste que quelques places. Pour toutes informations, il faut contacter le 05 65 47 57 69